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" Inconscient. L'infirmière a dit : il est inconscient mais vous pouvez lui parler. Inconscient, c'est un mot que j'entendais souvent à la maison. Ma mère. À tout bout de champ et à propos de tout. Son mot préféré. Mais vous êtes inconscients de sortir sans manteau par un froid pareil. Vous êtes inconscients de ne pas travailler en classe, vous verrez quand vous serez chômeurs. Vous êtes inconscients de vous battre comme des chiffonniers tous les trois, vous êtes frères. Alors inconscient, pour moi, ça voulait dire fou. Est-ce que tu étais devenu fou Markus ? " S'il est une romancière sachant décrire avec justesse l'éveil de l'adolescence, c'est bien Valérie Sigward. Avec cette pudeur et cette grâce déjà déployées dans La Fugue, elle nous livre un récit d'amitié entre deux jeunes gens que la vie va brutalement interrompre. Un drame psychologique construit comme un roman policier, dont la sensibilité bouleverse et le dénouement laisse médusé.