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Parallèlement aux théories et aux discours scientifiques concernant la maladie mentale, existent des discours profanes par lesquels s’exprime tout un univers d’opinions, d’intentions, de sentiments, mais aussi d’images et de symboles. Ce sont ces discours de sens commun qui sont analysés dans le livre de Marie-Noëlle Schurmans. L’auteur ne prétend pas en formuler une description exhaustive, mais tente de transmettre au lecteur, spécialiste ou non, une grille d’analyse qui lui permette d’interroger ses propres conceptions de la différence et de la « folie ». Cette étude très détaillée démontre l’existence, dans la structure des représentations sociales de la maladie mentale, de mécanismes de nature anthropologique, qui préexistent à la conceptualisation scientifique. Elle dévoile ensuite les conditions socio-historiques qui ont entraîné l’émergence du concept de maladie mentale dans le champ médical, sa légitimation progressive et son emprunt par le discours profane. Elle montre enfin comment ces dimensions s’insèrent dans les savoirs spécifiques d’ensembles sociaux distincts et met en lumière la coloration dont sont chargées, dans un groupe concret (les enseignants primaires), les représentations de la maladie mentale.