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Françoise Bayard a parfaitement atteint l'objectif de la collection que son livre inaugure : une approche intime de la cité sous l'Ancien Régime. Elle s'est attachée à faire revivre au jour le jour, et en tenant compte de l'évolution inhérente à une si longue période, ces Lyonnais de toutes conditions — grands commis, parlementaires, nobles, artisans, marchands, banquiers, journaliers, domestiques — découverts au détour de Mémoires, de contrats, de testaments, de livres de comptes, de gazettes. Elle s'efforce de ressusciter la manière dont ils s'habillaient, la maison, l'appartement, la chambre où ils logeaient, ce qu'ils avaient plaisir à manger et à boire, la façon dont ils travaillaient et occupaient leurs loisirs, le salaire qu'ils recevaient, les conditions dans lesquelles ils aimaient, se mariaient, élevaient leurs enfants, pratiquaient leur religion. Françoise Bayard étudie aussi la société d'ordres lyonnaise, la hiérarchie des fortunes, les tensions sociales, les révoltes populaires, les violences individuelles et collectives. Au fil de la vie à Lyon au cours de ces deux siècles, Françoise Bayard met bien en valeur les contrastes qui ne cessent de s'aviver, au sein d'une ville dont la population passe de 36 000 habitants, à la fin du XVIe siècle, à 150 000, à la veille de la Révolution.