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« Dites-leur que j’ai eu une vie merveilleuse. » C’est sur ces mots apaisés que s’éteint le philosophe Ludwig Wittgenstein à Cambridge. La destinée de celui qui fut l’un des penseurs les plus originaux du XXe siècle fut pourtant traversée de doutes et de combats perpétuels. Il naît à Vienne en 1889, dernier des huit enfants d’une famille richissime. Le père, industriel de grande envergure, et la mère, musicienne d’exception, reçoivent chez eux Brahms, Mahler ou Klimt, et dispensent à leurs rejetons une éducation élitiste, fondée sur le culte de l’excellence. Quant à Ludwig, le questionnement philosophique devient vite la grande affaire de sa vie : ce seront la rencontre avec Bertrand Russell, la découverte de la logique et la rédaction du Tractatus logico-philosophicus ; ce seront également des choix radicaux. En 1914, il s’engage sous les drapeaux austro-hongrois, connaît l’emprisonnement et découvre la foi chrétienne. Au sortir de la guerre, il renonce à la philosophie et devient instituteur, puis jardinier ; il envisage même un temps d’être moine… Avant de renouer avec ses premières recherches durant ses dernières années. Au terme d’une enquête précise, Ray Monk réussit ici le tour de force d’éclairer les contradictions et les zones d’ombre du personnage, sans sacrifier jamais la profondeur de sa philosophie.