Pour Julio Cortázar, dans son roman Marelle, il existe un lien entre la cérémonie du maté et la lecture (ou l'écriture), une sorte de grammaire ou de rythme. « Le maté est comme un point final. On le boit et on peut commencer un nouveau paragraphe ».
Pour le jeune Jorge Luis Borges, dans un poème de 1925, le maté est « un petit volcan qui fume, chaud comme un nid », et aussi une « humble horloge qui mesure les heures du doute ».
Pour un Borges moins jeune, le maté était « l'une des meilleures façons de perdre son temps ».
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