Une jeune femme a rencontré, dans le désert où elle se retrouvait, un homme qui l'a écoutée, qui l'a reconnue. Comment cette présence s'est-elle changée en une absence à la fois douce et insupportable («qui n'a écrasé sa langue contre les murs ne sait rien de l'absence») ? Comment de cette absence peut-il naître une sorte de bonheur déchirant ? A quel homme, de quel ton, peut-on dire ces paroles démesurées : «tu es celui qui apprend aux femmes à mourir seules» ? C'est ce que dit Françoise Lefèvre dans L'Or des chambres.
«Avec L'Or des chambres, Françoise Lefèvre renoue avec la famille injustement oubliée des Marcel Schwob et des Maurice Maeterlinck.»
Jean Chalon, Le Figaro
«Un cri d'amour comparable à celui de Louise Labbé et de la Religieuse portugaise.»
Gilbert Lely
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