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Deux assassinats à vingt-deux ans d'écart, un diacre pas très catholique, un trafic d'enfants volés sous Franco, un vrai faux Dalí qui refait surface, une commissaire de police à la famille corsetée par des secrets et des mensonges inavouables : Collioure petit port de tous les péchés. Barcelone, 25 décembre 1963. Corps à moitié dévorés par la chaux, Lluis et Gloria Rodriguez gisent près du chenil de leur propriété. Lèvres scellées par de la cire, dans leurs mains ligotées, jointes en prière, un tió de Nadal, figurine du folklore catalan. Leur fils, Guillermo, d'abord soupçonné, est relâché faute de preuves, et l'affaire classée. Collioure, été 1985. Les fêtes de la Saint-Vincent commencent étrangement pour la commissaire Marianne De Puech, fraîchement nommée à Perpignan : sa nièce est sauvée de la noyade par un inconnu, la maison de son père est cambriolée sans que rien ne soit volé, un tió de Nadal est déposé sur la tombe de sa mère et le corps du diacre barcelonais Guillermo Rodriguez est découvert à l'ermitage de Notre-Dame-de-Consolation. Ce meurtre a-t-il un lien avec celui de ses parents ? Pourquoi les indices convergent-ils vers une toile de Dalí qui semble familière à Marianne ? À trop scruter la vérité, ne va-t-elle pas déclencher une véritable bombe à retardement ?