Cozarinsky est l'un des auteurs fondamentaux de la littérature castillane d'aujourd'hui.
El País
Janvier 1945. Une jeune femme, vêtue d'une lourde cape militaire qui la protège à peine du froid, fuit à travers la Pologne et la Tchécoslovaquie.
Trois ans plus tard, nous la retrouvons à Buenos Aires, où, toujours hantée par son passé, elle a refait sa vie. Elle élève un fils, Federico, qui tente de savoir ce qu'elle cherche à oublier.
« Les histoires, on ne les invente pas, on en hérite », écrivait Edgardo Cozarinsky dans Le ruffian moldave.
Variation sur l'un des moments les plus tragiques de notre histoire, l'auteur brouille les pistes : au lecteur de distinguer le bien du mal, les bourreaux des victimes...
« Entre souvenirs de famille et souvenirs personnels, confidences d'amis et analyses historiques, Cozarinsky tisse des destins représentatifs de cette " horreur politique " du XXe siècle. »
Le Monde
« Cozarinsky aime mettre en lumière l'invisible et l'inclassable. »
La Nación
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