Il est une heure du matin et je le regrette. (Mercredi, 7 février 1973)
Voici des extraits du journal d'un étudiant en lettres des années 1970 à Berne (sa ville natale), à Vienne, à Paris, à un moment où l'université laissait aux étudiants le champ libre à la lecture, à la musique, à la réflexion. Pourquoi les publier aujourd'hui ? Pour rappeler ce que les grandes oeuvres d'art ont d'intemporel. Pour faire revivre le souvenir d'une époque qui tenait en haute estime les lettres et les arts, qui favorisait une culture du dialogue et des échanges sans a priori.
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