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Le destin fabuleux et authentique du général Kilmaine, un Irlandais qui deviendra l'ami et le bras-droit du jeune général Bonaparte. Fils de la verte Irlande, Kilmaine – que Stendhal surnommait " le merveilleux Kilmaine " – aura connu un destin bien singulier. Né à Dublin le 19 octobre 1751, ce fils de catholiques jacobites grandit en France, à Tonnay-Charente (Charente-Maritime), là où sa famille s'est installée pour fuir les persécutions britanniques en 1762. Par la suite, de la Révolution à l'empire, il sera de toutes les épopées, à Valmy, à Jemmapes, lors de la campagne d'Italie. Echappant de peu à la guillotine sous la Terreur, ce farouche opposant aux Anglais intégrera les services secrets français afin d'aider les indépendantistes irlandais. Fidèle de Bonaparte, il dirigera un temps l'armée d'Italie à la place de Bonaparte qui le nommera ensuite général en chef de l'armée d'Angleterre. Dès lors, entre les deux hommes, ce sera le début d'une amitié inaltérable qui résistera aux batailles et aux intrigues politiques pour les amener à œuvrer côte à côte lors du coup d'état du 18 Brumaire. Selon le colonel Landrieux, responsable du Bureau secret de l'empereur, Kilmaine aura été " le seul homme en qui Napoléon avait confiance ".