Standaard Boekhandel gebruikt cookies en gelijkaardige technologieën om de website goed te laten werken en je een betere surfervaring te bezorgen.
Hieronder kan je kiezen welke cookies je wilt inschakelen:
Technische en functionele cookies
Deze cookies zijn essentieel om de website goed te laten functioneren, en laten je toe om bijvoorbeeld in te loggen. Je kan deze cookies niet uitschakelen.
Analytische cookies
Deze cookies verzamelen anonieme informatie over het gebruik van onze website. Op die manier kunnen we de website beter afstemmen op de behoeften van de gebruikers.
Marketingcookies
Deze cookies delen je gedrag op onze website met externe partijen, zodat je op externe platformen relevantere advertenties van Standaard Boekhandel te zien krijgt.
Je kan maximaal 250 producten tegelijk aan je winkelmandje toevoegen. Verwijdere enkele producten uit je winkelmandje, of splits je bestelling op in meerdere bestellingen.
Au milieu des années 2020, la France a passé le cap des 3 100 milliards d’euros de dette, soit plus de 110 % de son PIB. Pour la première fois dans son histoire, la France a accumulé en temps de paix un niveau de dette de temps de guerre. Cette dette accumulée sur plus de quarante années représente plus de 114 000 kilomètres de lignes ferroviaires à grande vitesse, soit 2,8 fois le tour de la terre ! La dette a-t-elle servi à faire des investissements utiles aux générations futures ? Non, la France s’est endettée pour payer ses dépenses courantes, pour mener un train de vie au-dessus de ses ressources. Avec une industrie en attrition et une agriculture en déclin, faute de jeunes, nous devons nous réveiller et faire de la réduction de nos déficits une priorité absolue. Faute d’action volontaire, nous n’aurons que le choix de terminer comme l’Argentine ou la Grèce. Ce regard sur la dette n’est pas celui d’un économiste ou d’un financier, mais celui d’un scientifique qui estime que l’emballement de la dette, comme celle d’une réaction chimique hors contrôle, se termine toujours mal. Il est encore temps d’agir avant que les marchés financiers lâchent la France.