Standaard Boekhandel gebruikt cookies en gelijkaardige technologieën om de website goed te laten werken en je een betere surfervaring te bezorgen.
Hieronder kan je kiezen welke cookies je wilt inschakelen:
Technische en functionele cookies
Deze cookies zijn essentieel om de website goed te laten functioneren, en laten je toe om bijvoorbeeld in te loggen. Je kan deze cookies niet uitschakelen.
Analytische cookies
Deze cookies verzamelen anonieme informatie over het gebruik van onze website. Op die manier kunnen we de website beter afstemmen op de behoeften van de gebruikers.
Marketingcookies
Deze cookies delen je gedrag op onze website met externe partijen, zodat je op externe platformen relevantere advertenties van Standaard Boekhandel te zien krijgt.
Je kan maximaal 250 producten tegelijk aan je winkelmandje toevoegen. Verwijdere enkele producten uit je winkelmandje, of splits je bestelling op in meerdere bestellingen.
Pourquoi y a-t-il des riches et des pauvres? D’où viennent les inégalités et comment les réduire? Pierre-Noël Giraud apporte à ces questions une réponse originale : plutôt que de mettre en rapport inégalité sociale et croissance dans chaque pays, il préfère embrasser, sur trois siècles, les inégalités internes et externes, sociales et spatiales, des capitalismes, restituant ainsi la dynamique de l’économie du monde contemporain. Émergence des inégalités entre pays et réduction des inégalités sociales internes en fin de période, tel aura été, du XVIIIe siècle aux années 1970, le double mouvement d’ensemble de l’inégalité du monde. Or ce mouvement s’est inversé. Un rattrapage extrêmement rapide des pays riches par les plus pauvres a été entamé et cette réduction des écarts entre pays s’accompagne, au sein des pays riches comme des pays émergents, d’une croissance des inégalités, polarisant la société en une minorité de 'nomades' et un large groupe de 'sédentaires', qui deviennent les clients des premiers. Qui est mobile, qui est utile? Qui peine à trouver sa place dans le XXIe siècle? La synthèse la plus accessible sur ce qui est, avec celle du climat, la question politique centrale actuelle : les inégalités.