Après Le Gros Lot, Jean Failler nous offre un nouveau recueil d'histoires courtes. L'homme que je n'ai pas tué regroupe neuf récits venus au fil de sa plume sans unité de lieu ni de temps.
On y trouvera des souvenirs personnels, L'homme que je n'ai pas tué en fait partie, comme Histoire d'un vieux con, côtoyant des inventions cocasses, parfois cruelles, parfois drôles, parfois drôles et cruelles ; des contes philosophiques aussi, Le chêne et le bredin ou encore L'ambition de Fañch Nedeleg, et même fantastiques, Le fantôme de minuit moins le quart... La quête, L'ostensoir, Élise et le commandant fou pour être inclassables n'en sont pas moins réjouissantes.
On retrouve, comme toujours chez Jean Failler, et pour notre plus grand bonheur, ce plaisir de conter qui ne le quitte pas.
Comme pour le précédent opus, les illustrations sont de Rozenn.
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