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Il n’est jamais aisé de se situer à droite, surtout en France. La droite manque de panache. La gauche a pour elle la jeunesse, l’imagination, l’aventure. Elle seule écrit l’histoire. Peu importe qu’elle soit vaincue : c’est qu’elle a raison trop tôt. Trop d’hommes de droite se dissimulent sous la phraséologie de la gauche. Et parmi eux, peu d’écrivains osent jouer cartes sur table. Pierre de Boisdeffre a ce courage, et aussi celui de s’attacher à démystifier ces frères ennemis que sont l’homme de droite et l’homme de gauche. A la guerre civile, climat presque naturel aux Français, il oppose le dialogue. Pourquoi, en 1968, la Gauche a-t-elle failli à sa mission ? Mai avait-il un sens, et lequel ? Était-ce le premier signe de nouveaux Temps Modernes, ou seulement une révolution du XIXe siècle ? Telles sont les questions que pose Boisdeffre, avec l’autorité que lui confère la triple expérience du diplomate, de l’écrivain engagé, du haut fonctionnaire, cinq années Directeur de la Radiodiffusion. On lira avec passion, et parfois avec surprise, cette lettre écrite au galop de l’Histoire, mais qui en appelle à l’Éternité. Étonnante confession d’un côté ; impitoyable réquisitoire de l’autre, cette lettre chaleureuse, libre de ton, émane d’un écrivain de race.