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De la bagarre chez les femmes ? En tout cas cette « Lettre Ouverte » risque de la provoquer en dénonçant l’échec des femmes, en accusant leur manque d’audace et de solidarité. Dans un langage direct et sonore qui fera grincer les dents de ceux qui n’aiment pas que l’on dise tout haut certaines vérités, Françoise Parturier analyse le mépris que les femmes ont pour les femmes ; elle accuse les femmes « arrivées » de passer aussitôt dans le clan des hommes et de refermer la porte ; elle condamne la presse féminine pour son immense trahison ; elle se moque des députés de sexe féminin, elle déplore la docilité, l’inexistence des femmes au sein des partis politiques ; elle accuse particulièrement les femmes gaullistes qui ne savent pas résister à la politique paternaliste de l’U.D.R. et qui acceptent d’être la monnaie de leurs alliances ; mais la critique s’étend à toutes, socialistes, communistes, catholiques, qui sacrifient les intérêts des femmes à la puissance mâle du moment. Quelques pages amusantes sur le M.L.F. Et toujours ce ton vif, cet humour mordant, ce courage sans concessions, qui rendent très vivant ce texte constamment animé d’un idéal constructif. Françoise Parturier souhaite que les femmes s’unissent pour faire aboutir leurs dernières revendications et pour en finir avec cet inconfortable combat qui est le leur. Elle dépasse toujours la polémique pour atteindre à des vérités profondes qui ne sauraient manquer de passionner toutes les femmes, quelles que soient leurs opinions personnelles. Et de passionner aussi tous les hommes.