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A l’époque où de nombreux livres sur l’art se paient moins cher qu’un whisky, comment parler d’une crise de la culture ? Comment parler d’une crise de l’art, alors que jamais autant de moyens — expositions, musées, revues, livres, catalogues, travaux des experts et des critiques, etc. — n’ont été mis à la disposition des amateurs ? Cela est vrai. Théoriquement... Car, en réalité, le système qui régit le monde de l’art réserve celui-ci aux seuls privilégiés. Et cela, tandis que le nombre des personnes qui s’intéressent à l’art croît sans arrêt : les « amateurs d’art », en France seulement, sont plus d’un million ! Pourquoi cette situation scandaleuse et paradoxale ? Jean Ferré, dont le Watteau a été unanimement salué comme un événement, « vend la mèche » dans cette « Lettre ouverte » explosive et passionnante. Il démonte le mécanisme du « gang », de la « maffia » qui, intellectuellement, commercialement et administrativement, « tient » l’art. En même temps, il donne à tous les fervents des problèmes d’art et de collection, une réponse à leurs légitimes questions : Pourquoi tant de contradictions dans l’histoire de l’art ? Où en sont les techniques d’étude et d’identification des grandes œuvres ? Qui peut aider l’amateur à comprendre ou à percevoir ce qui, dans « l’art moderne », appartient vraiment à l’art ? Quelle est la politique des États pour la conservation des trésors artistiques ? Enfin, sur le plan pratique, Jean Ferré conseille la meilleure attitude aux amateurs « purs » comme à ceux qui veulent investir, et fournit à tous un guide d’orientation bibliographique qui leur permettra d’effectuer des recherches de façon simple et efficace, en se fiant à leur goût personnel, seul critère de valeur à l’épreuve du temps, et en échappant à la dictature des professionnels. Les amateurs exerceront ainsi véritablement leurs droits d’ « honnêtes hommes » du XXe siècle.