Standaard Boekhandel gebruikt cookies en gelijkaardige technologieën om de website goed te laten werken en je een betere surfervaring te bezorgen.
Hieronder kan je kiezen welke cookies je wilt inschakelen:
Technische en functionele cookies
Deze cookies zijn essentieel om de website goed te laten functioneren, en laten je toe om bijvoorbeeld in te loggen. Je kan deze cookies niet uitschakelen.
Analytische cookies
Deze cookies verzamelen anonieme informatie over het gebruik van onze website. Op die manier kunnen we de website beter afstemmen op de behoeften van de gebruikers.
Marketingcookies
Deze cookies delen je gedrag op onze website met externe partijen, zodat je op externe platformen relevantere advertenties van Standaard Boekhandel te zien krijgt.
Je kan maximaal 250 producten tegelijk aan je winkelmandje toevoegen. Verwijdere enkele producten uit je winkelmandje, of splits je bestelling op in meerdere bestellingen.
De jour, qu'on n'ait pas peur de mourir, par une belle lumière, après une conversation entre amis, soit. En pleine nuit, dans son lit, entouré d'ombres avec quelque frêle clarté pour mesurer l'épaisseur des ténèbres, on tremble d'être ainsi à jamais et de ne plus s'intéresser à rien, quelque chose vous tord le coeur, on écoute les petits bruits de la nuit, on devine dehors la ronde des astres qu'un voile d'humidité nous cache. Soudain, on a peur de s'en aller rejoindre les morts au cimetière où ils sont serrés, on aimerait avoir près de soi la femme qu'on a choisie miséricordieuse, ou seulement un chat ronronnant, pour nous retenir à cette chaloupe qu'est un lit d'homme après naufrage. L'idée vient alors de la prière, cet analgésique, anesthésique de l'âme et du corps, morphine bien-aimée qui enlève la douleur et l'angoisse. Et moi qui suis toujours, comme beaucoup, à la recherche de quelqu'un de fort et de tranquille, je vous dis : Notre père qui êtes aux cieux" : . . Après quoi je peux mourir, je m'endors."