« Un endroit où aller »
L'étranger intime
Le poème est un hommage à tous ceux qui vivent au moment de le lire - parce qu'il est écrit au temps possible, pas au futur ni au futur imparfait (ni à l'avenir postérieur), mais au « perpétuel peut-être » : quand il fonctionne pleinement, il fournit une beauté exaltant la langue, et apparaît aussi aisé que l'eau qui sourd dans un puits. Et, curieusement, c'est comme toujours une épitaphe pour ceux qui sont trempés jusqu'aux os et assombris par un ancrage (encrage) à la mort aussi certaine et aussi éclairante que l'aube, ce sera une eau apaisée par le vent qui souffle de nulle part, attendant d'être troublée par l'aviron de Charon.
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