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Le statut de l'ethique dans l'oeuvre de Plotin est controverse. On reproche a Plotin une ethique elitiste qui ne s'adresserait qu'aux sages. Pourtant, celui-ci attribue a sa philosophie une visee ethique particuliere: celle de ne pas se croire le seul vertueux. Il oppose cette orientation a celle de ces contemporains, les Gnostiques. Ainsi, nous constatons une etonnante similatite entre la critique plotinienne adressee aux Gnostiques et la critique moderne emise a l'encontre de Plotin. Comment comprendre la divergence de ces critiques? Si les analyses modernes etaient justifiees, la critique de Plotin contre les Gnostiques temoignenrait d'une incoherence veritable: Plotin reprocherait aux autes ce qui manque dans son propre enseignement. En revanche, si l'on parvient a trouver dans l'oeuvre de Plotin des elements ayant trait a un veritable souci ethique, une revision des critiques modernes s'impose. L'enjeu est important, la coherence et le serieux des propos de Plotin concernant sa propre philosophie sont en cause. Le propos du present ouvrage est de considerer cette question a partir de la figure du sage, le spoudaios, dans les Enneades, en particulier dans le traite I 4 [46].