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J’ai écrit ce récit pour revenir à mes amis, au pays, aux paysages de mon enfance. J’ai rencontré Théo avant de rencontrer Alexandre, mais d’une rencontre à l’autre, c’est le temps-qu’il-y-a dont il s’agit, le temps ou parvenir au but et ne pas parvenir au but sont le temps qu’il fait, depuis longtemps déjà, en France. Je me suis donc rencontré, comme Théo s’est rencontré lui-même : à travers la peinture. Du même coup, nous avons rencontré notre sortie. Mais cette sortie, avant de la trouver dans sa peinture, Alexandre, jeune peintre de la périphérie, jeune peintre du pays de Géricault, l’avait trouvée dans une femme : Mona. Ainsi, la peinture et la femme, une seule et même chose, seront ce qui nous reste. L’espace du malentendu, celui où l’on ne s’entend pas, c’est ce qu’il nous faut traverser, pour passer de ce côté-là, où la foudre tombe sur les événements. J’ai écrit ce récit pour revenir à mes amis, à ce silence hanté par les mots : le sens. Alain Jouffroy, 1987.