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Le Cameroun, comme bon nombre de pays en développement en général, et de pays africains de la zone franc en particulier, a été plongé dans une profonde crise, depuis le milieu des années 1980. Trois des principales causes à cette crise sont i) la dégradation des termes de l'échange en raison de la baisse des cours internationaux des principaux produits de base, ii) la baisse du dollar qui a amplifié celle des recettes d'exportation et iii) les politiques de dépréciation agressive des pays voisins, notamment le Nigéria. Des voies de sortie se sont avérées être des ajustements aussi bien internes qu'externes. Entre autres instruments d'ajustement, la réforme fiscale et douanière dans la zone de l'Union douanière et économique de l'Afrique centrale (UDEAC) devait permettre une régulation des équilibres macro-économiques dans les États membres en général, et au Cameroun en particulier. Les objectifs principalement visés par la réforme fiscale et douanière dans la zone UDEAC étaient i) l'amélioration de la capacité de collecte de recettes des structures tarifaires et fiscales des États membres, ii) l'amélioration de l'efficacité et de la compétitivité du secteur manufacturier dans chacun des États par l'élargissement de la base fiscale pour des taux uniformisés et réduits, iii) la définition d'instruments de fiscalité indirecte flexibles et iv) la simplification de la structure fiscale pour son administration facile et la transparence de celle-ci.