Standaard Boekhandel gebruikt cookies en gelijkaardige technologieën om de website goed te laten werken en je een betere surfervaring te bezorgen.
Hieronder kan je kiezen welke cookies je wilt inschakelen:
Technische en functionele cookies
Deze cookies zijn essentieel om de website goed te laten functioneren, en laten je toe om bijvoorbeeld in te loggen. Je kan deze cookies niet uitschakelen.
Analytische cookies
Deze cookies verzamelen anonieme informatie over het gebruik van onze website. Op die manier kunnen we de website beter afstemmen op de behoeften van de gebruikers.
Marketingcookies
Deze cookies delen je gedrag op onze website met externe partijen, zodat je op externe platformen relevantere advertenties van Standaard Boekhandel te zien krijgt.
Je kan maximaal 250 producten tegelijk aan je winkelmandje toevoegen. Verwijdere enkele producten uit je winkelmandje, of splits je bestelling op in meerdere bestellingen.
Que sait-on de la vie sentimentale d'Adolf Hitler ? Séducteur forcené ? Pervers impuissant, sadique et masochiste ? Contemplateur timide asexué ? Homosexuel, comme l'avancent certains historiens ? François Delpla s'en tient à une vision moins contrastée, mais rigoureusement étayée, en retraçant une vie amoureuse assez ordinaire. Il décrit ses premières relations, sa passion funeste pour sa nièce Geli Raubal (suicidée à 23 ans), ses diverses affections platoniques et son mariage tardif avec Eva Braun. Son goût pour les très jeunes femmes (de 16 à 18 ans), qu'illustre son intérêt pour Maria Reiter et Eva Braun (les seules avec lesquelles il eut des rapports complets), sa camarade de parti Sigrid von Laffert, Friedelind Wagner, Verena Wagner, Unity Mitford, ne l'entraîne pas toujours dans la recherche d'un commerce intime. Une place importante est faite à Winifred Wagner et Leni Riefenstahl, avec lesquelles Hitler s'abstint de toute approche charnelle, préférant user de leur aura à des fins de propagande. Pour l'auteur, les femmes ont contribué à l'ascension et l'emprise d'Hitler par leur soutien et leur réponse positive face à son constant besoin d'admiration et d'approbation. " On a longtemps fait de Hitler un jouet, conclut François Delpla. Jouet de ses pulsions ou de celles de son peuple, du grand capital, des forces militaristes ou revanchardes allemandes, du Diable... J'ai été amené à comprendre qu'il se jouait lui-même la comédie. Croyant en partie aux illusions qu'il créait, il y était encouragé par l'adhésion des femmes. "