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On peut parler de littérature avec légèreté sans être léger. Avec ces histoires littéraires consacrées à des auteurs du XXe siècle, quarante-trois précisément, de Marcel Aymé à Léon Werth, François Bott prolonge et renouvelle un genre. Avec une érudition gourmande, sans faire le savant, il nous invite à la promenade, la flânerie, en s’attachant aux pas de ces grands rêveurs que sont les écrivains. Il aurait pu titrer ce recueil : Deux ou trois choses que je sais d’Albert Cohen, ou de Jean Paulhan, ou de Jacques Prévert, ou de Colette, etc. Et derrière ces deux, trois choses se profileraient en fait une immensité, un homme, sa vie surtout, ses amis, ses amours, son époque. L’air de rien, sur la pointe des pieds, le voyage se poursuit qui conduit à l’œuvre, l’homme et le roman, le roman et l’homme, étroitement mêlés. Voilà donc une lecture qui en appelle d’autres, des portes qui ouvrent d’autres portes, une littérature déambulatoire qui fait aimer les livres. Le style de François Bott se promène aussi, entre l’humour et l’ironie, toujours avec élégance, souvent jubilatoire. Par exemple : « l’existence humaine a pris l’habitude de n’être jamais limpide » dit-il ; ou encore : « les bonheurs ont l’esprit grégaire. Les malheurs aussi, du reste ». À propos d’André Breton : « Ce n’était pas du libertinage, car il était le meilleur spécialiste des coups de foudre ». Ou, sur Vian, cette accroche : « Il ne faudrait jamais habiter Ville d’Avray quand on met au monde un enfant qui s’appelle Boris. » Bref ! si François Bott était « prof de lettres », on entendrait les auteurs voler. C’est dire si ces histoires sont à raconter aux enfants des écoles.