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En ces années 1940, où la campagne quercynoise découvre lentement le drame de l’Occupation, le parcours du jeune René est semblable à celui du Lot ; des calmes plaines du bonheur familial aux roches abruptes de la souffrance et du drame, il suit la courbe sinueuse d’un destin ordinaire, où tout se décide ailleurs. La souffrance est dans cet ailleurs, insaisissable et omniprésent ; cet ailleurs irritant comme le piquant des orties, dès qu’il quitte Le Havre chaud de la maison. Écrit sur le ton de l’autobiographie, ce roman, qui a la solidité des choses et des hommes de la terre, séduit d’emblée par son style fluide et cependant pétri de langue d’oc jusque dans sa syntaxe. Récit tout à la fois pudique et poignant, tissé de rêves et de révolte, « Les orties poussent près des maisons » narre les événements forts et les moments paisibles d’une enfance où transparaissent la sensibilité et l’amour du pays natal. Mais cet hymne à la vie et à la mort, à la terre et au soleil nous entraîne aussi dans le lent glissement de l’Histoire.