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« Un jour viendra, couleur d’orange... » : quel lien unit à l’espérance du poète la mort de milliers d’orangers sur les rives du lac Balaton, voici plus de vingt-cinq ans ? — Le socialisme. Il forme la trame du nouveau livre de Maurice Duverger, à ses yeux le plus important de tous ceux qu’il a publiés. Comment une doctrine qui tendait à libérer les hommes a-t-elle abouti à des dictatures totalitaires ? Pourrait-elle s’épanouir dans les démocraties d’Occident, en y accroissant le pluralisme au lieu de le détruire ? Doit-elle limiter ses ambitions, au lieu de faire entrevoir un Eden futur qui transpose la vie éternelle, ce rêve perdu ? Ces questions, et bien d’autres, sont abordées dans une confrontation de tous les socialismes pratiqués et parlés, où l’analyse de leurs formes et de leurs forces se déroule en contrepoint d’une critique théorique. Benedetto Croce a trié naguère Ce qui est mort et ce qui est vivant dans la philosophie de Hegel. Maurice Duverger s’efforce de distinguer aujourd’hui ce qui est mort et ce qui est vivant dans la science sociale de Marx.