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« Les mercenaires de la mer », ce sont des Bretons, des Irlandais, des Écossais, des Norvégiens, tous des hommes issus de régions rudes marquées par le chômage. Pour eux, l’exil volontaire sur les îles artificielles que sont les plateformes pétrolières, constitue l’unique possibilité de quitter une certaine misère. Mieux, c’est la porte ouverte au luxe, grâce à l’argent offert par les compagnies. L’argent est d’ailleurs le seul attrait de ces mondes métalliques. Mondes de l’interdit : interdit de boire, interdit de fumer. Mondes sans femmes. Mondes de travail : douze heures par jour, sans repos hebdomadaire. Mondes d’agressions : le bruit, le froid, les accidents. Mondes de solitude, d’aventures, avec le danger pour unir les hommes. Sur OPX 31, plate-forme située en mer du Nord, comme sur toutes les plateformes, ces conditions empêchent les hommes de mentir. Ici, pas question de se cacher derrière un masque, chacun se montre tel qu’il est, sans le moindre subterfuge. Le secret le mieux dissimulé ne tient pas... Joseph Petitpas, le patron d’OPX31, le champion de l’amitié érigée en institution, le savait et pourtant, pour lui, tricher était une nécessité...