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« Apte au travail ! » : un salarié se l’entend dire avec, parfois, les poumons pris, une intoxication du sang, les nerfs qui craquent. C’est qu’il faut produire. C’est que l’usine, comme l’armée, a besoin de bras. « Apte au travail ! » : l’homme qui parle ainsi — devant lequel on comparaît une fois l’an —, c’est le médecin du travail. Personnage mystérieux, ses diagnostics sont des ordres. Qui sont donc ces médecins du travail ? Des mercenaires de la santé ? Des sergents recruteurs ? Olivier Targowla, ancien journaliste à Libération, reporter à Témoignage chrétien, a enquêté. Sur les lieux de l’entreprise. À Paris. En province. Interrogé médecins, syndicalistes, salariés. Confronté leurs témoignages. Pour l’essentiel, les faits accusent la médecine du travail. Le patronat l’utilise ; les médecins se laissent faire. La tragédie est là. Sous nos yeux, on gère au rabais la santé des autres. Olivier Targowla ouvre, pour la première fois, le dossier des « Médecins aux mains sales ».