Les lignes d'or
Et si l'ensemble des premières grandes civilisations de la planète - Sumer, Egypte, Grèce ou encore Olmèques au Mexique et civilisations pré-incaïques en Amérique du Sud - portaient toutes en elles l'empreinte irréfutable d'une origine commune ?
C'est là la thèse audacieuse de Sylvain Tristan qui, dans ce livre qui se lit comme une enquête policière, affirme que la civilisation mégalithique d'Europe de l'Ouest (dont les alignements de Carnac ou le temple de Stonehenge constituent les joyaux) était composée d'un grand peuple de marins et d'astronomes capables de merveilles jusqu'ici insoupçonnées.
Ce peuple était en outre le détenteur d'une géométrie à 366 degrés réconciliant la distance et le temps, intrinsèquement supérieure à la nôtre. Mais le plus incroyable, c'est que chacune des capitales des premières grandes civilisations (Babylone, Thèbes, Mycènes, Stonehenge ou Alésia) a été bâtie sur un réseau de lignes uniformément espacées dans la géométrie à 366 degrés, preuve que ces civilisations ne sont pas nées indépendamment les unes des autres. Ce n'est pas un pavé mais un menhir que l'auteur jette dans la mare des idées préconçues sur la genèse des grandes civilisations. Une grosse pierre dont l'onde de choc pourrait créer bien des remous au sein de l'archéologie et de l'histoire « officielles », qui s'en trouveraient bouleversées à jamais...
We publiceren alleen reviews die voldoen aan de voorwaarden voor reviews. Bekijk onze voorwaarden voor reviews.