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En 2012 et 2013, Louis Hamelin avait publié dans le magazine Spirale une série de réflexions sur l’art du roman sous le titre « Les héritiers de Don Quichotte ». Une décennie plus tard, il se porte à nouveau à la défense du genre romanesque en mettant bout à bout une trentaine d’articles ou de chroniques qu’il a fait paraître au fil du temps dans Le Devoir et dans d’autres publications.
Il y développe une admirable conscience romanesque du monde d’aujourd’hui, une conscience qu’il prend la peine d’expliciter et d’approfondir à travers la figure de Don Quichotte, qu’il présente comme la « figure du désaccord avec le monde tel qu’il est ». Son point de vue n’est ni celui d’un expert ni celui d’un critique, mais bien celui d’un praticien qui avoue avoir fait du roman sa grande « obsession ». Les textes rassemblés sont divisés en trois sections portant respectivement sur le roman vu du Québec, sur « l’utilité du chef-d’œuvre » et sur la comparaison entre certains films célèbres et leur inspiration romanesque.
Amorcé par un texte inédit à caractère autobiographique dans lequel Louis Hamelin raconte sa naissance à titre de romancier en 1987, l’essai se clôt sur un éloge des trois grandes valeurs qui, selon lui, sont propres au roman depuis Cervantès jusqu’à Kundera en passant par le roman états-unien, auquel il réserve la part du lion : l’art de la prose (c’est-à-dire du monde corporel, quotidien et concret), l’art de l’ironie, et bien sûr l’art de l’imagination.
Peu d’écrivains, au Québec ou ailleurs, parviennent comme Louis Hamelin à concilier de façon aussi naturelle et dans un style à la fois léger et vif cette force inventive du roman moderne et les mutations du monde actuel.