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Dans le Bois des Caures, au nord de Verdun, quelques centaines d’hommes savent qu’ils seront les premiers à subir l’assaut de l’armée allemande. Combien seront les ennemis ? Dans les abris, des rumeurs circulent, aussitôt taxées d’extravagantes par ceux qui ont à cœur d’entretenir le fameux « moral des troupes ». Le lieutenant-colonel Driant, écrivain et député à qui ce statut permettrait pourtant de rester à Paris, commande cette petite unité et se pose la même question que tous : quand ? Quand attaqueront-ils ? En guise d’éclaireurs, les Allemands envoient leurs obus. 80 000, sur un périmètre de quelques centaines de mètres carrés. La guerre prend ce jour-là des proportions qu’aucun soldat, aucun officier, n’était capable d’envisager jusqu’alors. Le bois de Caures est anéanti. Pourtant, quand le pilonnage cesse et que les Allemands s’avancent enfin, des coups de feu les arrêtent. Quelques dizaines de Français à peine ont survécu. Mais ils se battent. Et l’armée du Kaiser est bloquée… De cet épisode héroïque digne des Thermopyles, Pierre Mari a tiré un roman qui ne ressemble à aucun autre récit de guerre, mais de la conscience que s’est livrée là une toute autre bataille : celle qui consiste à demeurer humain dans un environnement qui ne l’est plus.