Les Epîtres LUISTERBOEK

Les Épîtres

« Le monde ne reverra plus de second saint Paul. [...] C'est une mine profonde dans laquelle brille une infinité de métaux précieux. [...] Quelle tristesse, quel regret de voir que tous ne connaissent pas ce maître ! Il y en a qui le connaissent si peu qu'ils ne sont même pas fixés sur le nombre de ses épîtres. Pour moi, si je sais quelque chose (ce n'est pas que je sois particulièrement doué), c'est simplement que, passionnément attaché à ce maître,
je n'ai jamais cessé de l'étudier. [...] Le coeur de Paul, c'est le coeur du Christ. » Saint Jean
Chrysostome, patriarche de Constantinople (340-407).

« Je dévorais les saintes Écritures dictées par l'Esprit. Je dévorais surtout l'apôtre Paul.
En un moment s'évanouirent mes difficultés. Je saisis l'unité de l'enseignement chrétien et
je connus cette joie qui fait trembler. » Saint Augustin (354-430).

« Regardons le glorieux Paul. On eut dit que Jésus lui sortait toujours de la bouche, tant
il « Le gardait présent dans son cour ». Sainte Thérèse de l'Enfant-Jésus (1873-1897).

« Saint Paul est mon ami. Quel réactif contre ces fadaises de dévotionnettes ! » Père
Lebbe, missionnaire en Chine au XIX^e siècle.

« Dès que saint Paul touche le mot Christ, c'est comme si vous mettiez un grain d'encens
sur des charbons allumés ; tout de suite, l'encens parfume toute l'Église. » Cardinal Journet
(vers 1970, cours sur l'Apocalypse).

« Paul est le premier après l'Unique », Père Brunot, spécialiste de saint Paul.

Paul, un chef-d'oeuvre d'humanité et de grâce », Père Cantinat, lazariste, (1950-1980).

« [...] Si quelqu'un prétend comprendre le Nouveau Testament sans Paul, il faut craindre
qu'il ne soit pas très avancé sur la trace du Christ réel ». Romano Guardini, théologien
allemand du XX^e siècle.

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