Standaard Boekhandel gebruikt cookies en gelijkaardige technologieën om de website goed te laten werken en je een betere surfervaring te bezorgen.
Hieronder kan je kiezen welke cookies je wilt inschakelen:
Technische en functionele cookies
Deze cookies zijn essentieel om de website goed te laten functioneren, en laten je toe om bijvoorbeeld in te loggen. Je kan deze cookies niet uitschakelen.
Analytische cookies
Deze cookies verzamelen anonieme informatie over het gebruik van onze website. Op die manier kunnen we de website beter afstemmen op de behoeften van de gebruikers.
Marketingcookies
Deze cookies delen je gedrag op onze website met externe partijen, zodat je op externe platformen relevantere advertenties van Standaard Boekhandel te zien krijgt.
Je kan maximaal 250 producten tegelijk aan je winkelmandje toevoegen. Verwijdere enkele producten uit je winkelmandje, of splits je bestelling op in meerdere bestellingen.
À quelles conditions peut-on, dans un discours réel, utiliser un énoncé comme argument en faveur d’un autre ? La réponse semble aller de soi, au moins si l’on assimile l’argumentation à une espèce de raisonnement – peut-être lâche et flou, mais analogue en son fond à la démonstration étudiée par les logiciens. Dans ce cas, l’enchaînement des énoncés se fonde sur les informations qu’ils véhiculent, sur ce qu’ils disent de la réalité. C’est justement l’inverse que veut montrer la théorie des échelles argumentatives. Selon elle, la structure des énoncés, au sens le plus étroitement grammatical du terme, contient, indépendamment des informations qu’ils donnent, des indications sur le type de conclusions qu’ils peuvent servir. Le sens même de nos paroles doit alors être vu comme étant, de façon intrinsèque, un moyen pour orienter le discours de l’autre, l’intention de dire ne se distinguant pas de l’intention de faire dire. Ce qui fait triompher le structuralisme là où on l’attend le moins, en sémantique : la valeur sémantique d’un énoncé est constituée par allusion à la possibilité d’un autre énoncé – l’énoncé de l’Autre.