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Alger, 24 décembre 1942 : de deux balles tirées à bout portant, le jeune Bonnier abat, dans son bureau du Haut-Commissariat, l'Amiral de la Flotte Darlan, bras droit du maréchal Pétain. Plus de quarante ans après, de nombreuses questions concernant cet assassinat politique restent encore sans réponse : pourquoi Darlan était-il arrivé à Alger quelques heures avant le débarquement anglo-américain du 8 novembre ? Comment a-t-il pu concilier l'obéissance à Vichy et les exigences du général Clark, et de ses partisans français ? Comment a-t-il réussi à négocier le retour de l'armée d'Afrique dans la guerre contre l'Axe, sauvegardant ainsi l'unité de l'Empire français ? Qui, enfin, a commandité son élimination ? Connaissant bien Darlan puisqu'il l'avait côtoyé à l'École Navale, puis comme midship sur le Montcalm, Jacques Moreau était idéalement placé pour répondre à ces interrogations. Il le fait ici, dans le cadre d'un récit personnel des événements de ces deux mois de crise. Il est difficile d'être mieux documenté, puisqu'il était alors préfet maritime de la 4e Région à Alger. Sa relation des faits s'étaye de textes officiels indiscutables, souvent occultés ou déformés depuis. Au cœur du microcosme où se prenaient les plus importantes décisions, l'auteur avait un atout supplémentaire : tous les jours de cette période troublée, il rencontra son supérieur qu'il respectait et admirait, et put en suivre la démarche spirituelle. L'histoire du débarquement de 1942, telle que nous la livre l'amiral Jacques Moreau, y gagne une dimension humaine. Les derniers Jours de Darlan est plus qu'un document rigoureux et passionnant. C'est aussi le récit d'un soldat fidèle et déchiré.