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La violence est le problème majeur auquel est confrontée toute société. La « théorie des ordres sociaux » (2009) en fait un décodeur des institutions et des règles qui encadrent la politique et l’économie. Ce schéma de lecture de l'histoire contemporaine oppose deux idéaux-types, celui des États naturels où l’accès aux ressources ou aux privilèges est conditionné à l’allégeance au pouvoir, et les ordres d’accès ouvert, où économie de marché et démocratie représentative se coordonnent sous couvert de l’État de droit. La mondialisation a plongé ces deux idéaux-types dans une arène unique. Mais les ordres d’accès ouvert progressent et embarrassent les États naturels. Cet essai soutient que « les ordres d’accès ouvert ont atteint la masse critique », c’est-à-dire qu’ils sont assez nombreux et influents désormais pour contenir la violence planétaire. Après cinquante ans de domination américaine, c’est à eux conjointement que revient d’endiguer les pandémies, l’impérialisme russe, le réchauffement climatique, en bref, d’assurer l’ordre mondial.