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Pendant cet hiver trouble, à Paris, Fred Hopner, un metteur en scène, beau comme Curd Jurgens, qui aime les femmes autant que celles-ci l’aiment, qui a un caractère impossible et une étonnante femme frêle comme une herbe et dure comme l’acier, vient de terminer un film (interdit par la censure) et pense déjà au suivant. Il s’intéresse aux choucas (des oiseaux étonnants, aux mœurs « sociales » développées), aux répétitions d’une figuriste sur glace, à une infirmière et à la guerre. Il fait une « crise ». Ou peut-être est-ce le monde qui est en crise ? Le thème de la « crise » est familier à Jean Kanapa. Cette crise-là débouche sur une « tragédie optimiste » à l’échelle de Fred Hopner — un de ces fanatiques qui n’en ont pas l’air et dont le monde a besoin. Si on lui disait que ce roman est à clefs, l’auteur répondrait que ce n’est pas exact puisque Fred Hopner n’est pas seulement tel metteur en scène connu, mais aussi tel autre ; que d’ailleurs l’attentat dont il est victime, c’est en réalité un écrivain qui en fut l’objet cet hiver-là ; que le sort qui frappe Hopner fut en vérité celui d’un metteur en scène qui n’était pas français, mais étranger… et que c’est donc à l’évidence un roman d’imagination. Un roman qui a l’allure d’un scénario, son rythme rapide, son découpage, son style de dialogues — et en même temps celle d’une partition, où s’entrecroisent les « thèmes secondaires ». — Tout le contraire, en somme, du « nouveau roman » (pour lequel, d’ailleurs, l’auteur affirme avoir le plus grand respect). On oubliait : il y a aussi une dame qui joue de la harpe. C’est très important. L’art est très important. La guerre aussi.