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Comment vivre l'absolu dans un monde de plus en plus matérialiste ? Comment concilier quête d'absolu et quête du bonheur ? Pendant des millénaires notre rapport à l'absolu, notre besoin de plénitude, a été vécu dans le cadre de l'expérience religieuse. Puis la référence au monde divin à cédé sa place à des valeurs humaines. Aujourd'hui, l'aspiration à la plénitude (au sacré, au sublime, à l'infini...), à une qualité de vie supérieure fait partie du "projet de vie" de chacun. Mais comment la mener ? Où doit-elle nous conduire ? Parmi les tentatives contemporaines extraordinairement variées de toucher à l'absolu, Tzvetan Todorov a voulu en retenir une : celle qui interprète cette expérience comme une quête de la beauté et l'art comme le moyen d'y accéder. Et il s'est attaché à trois serviteurs de la beauté ? Oscar Wilde, Rainer Maria Rilke, Marina Tsvetaeva ?qui ont toute leur vie aspiré à une forme de perfection, et en ont fait le projet de leur existence. Dans un livre qui nous rappelle Mémoire du mal, tentation du bien, Tzvetan Todorov ne nous offre pas seulement une triple et passionnante biographie, mais aussi une réflexion sur l'art de vivre. Le culte de la beauté et la pratique des arts ne suffisent pas à organiser l'ensemble d'une vie, conclut-il au terme de son cheminement. Nous sommes des êtres imparfaits, non des anges, et ne pouvons vivre dans une extase continuelle, dans le seul ravissement de la plénitude. La voie ne serait-elle pas de trouver une beauté dans le quotidien qui permette de découvrir le sens de la vie ? Dans leur quête, Wilde, Rilke et Tsvetaeva ont connu l'échec, mais ils ont montré le chemin.