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Les apparitions de la Vierge ont toujours mis l’Église devant un problème épineux, bien embarrassant. Au sujet des événements survenus à Vallensanges. Pierre Bayle, qui n’est pas un littéraire, ni un religieux, mais plutôt un scientifique, s’est penché — avec une rigueur aussi objective que possible — sur cette étude historique, en tâchant de n’avancer que ce qui peut être prouvé à quelqu’un de bonne foi. Par suite de ressemblances qui existent — entre de nombreuses apparitions reconnues et d’autres qui ne le sont pas — le discernement avec les vraies est fort difficile. On peut se poser beaucoup de questions tout au long d’un examen. Par crainte de se tromper, il serait plus facile, plus commode, de porter tout de suite un jugement négatif au lieu d’un jugement positif, s’il n’y avait pas — parfois — des éléments à caractère surprenant, pour ne pas dire surnaturel. Le hasard peut-il toujours exister ? En soi, il ne constitue nullement une explication valable. Dans cette étude, trois hypothèses sont émises. Les deux premières ne sont pas à rejeter. Il faut beaucoup de temps, de patience, pour — en fin de compte — porter un jugement. La voix du bon sens dit qu’il y a eu quelque chose de très sérieux à Vallensanges — la loyauté de Jean-Auguste Bernard, qui a consacré ensuite toute sa vie à Dieu, ne fait pas de doute. Au sujet du résultat pratique de ces événements, nous dirons qu’une lumière est apparue à Vallensanges, pour raffermir la foi chrétienne dans cette région. Cette étude est une extraordinaire histoire, un récit excitant pour l’esprit, qui posera une rude énigme à certains.