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Lecteurs, critiques, n’insérez pas, je vous en prie, mon avis dans les vôtres. Démolissez toute opinion soufflée, surtout quand elle vient de l’éditeur. Alors lisez. François Châtelet, l’un des philosophes notoires de ce temps, responsable du département de philosophie de l’Université de Vincennes, journaliste et politique, écrit - à cinquante ans - son premier roman. Mais, aujourd’hui, les genres se brisent : le terme de roman n’est souvent qu’une mince pellicule pour cacher l’expérience vécue. Alors vous comprendrez pourquoi j’édite François Châtelet. C’est plus que de l’édition : pour lui, frôlé par la mort cet hiver, ce livre est un livre de vie. Deux hommes, Guillaume - lointain descendant du Wilhelm de Gœthe - et un avocat, son ami - cloué dans sa chambre d’hôpital - soliloquent. La mort guette l’un des deux. Qui succombera en premier à la pire des drogues rationalistes : l’alcool ? En un lent, méthodique suspens, une petite musique terriblement humble, déchirante, raconte ici notre époque. Je ne suis pas François Châtelet, murmure l’auteur, je suis un homme sans qualité.