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Écrit par celui qui fut le plus jeune des chefs “fascistes” de l’Europe, ce livre purement spirituel étonnera. Léon Degrelle reste chargé, pour beaucoup, de l’opprobre dont on accabla en vrac les vaincus de 1945. Parce qu’Hitler, en lui remettant le collier de la Ritterkreuz, lui avait dit : “Si j’avais un fils, je voudrais qu’il fût comme vous”, Degrelle n’a droit qu’à être un infâme hitlérien ! Un tel jugement est un peu trop sommaire ! Sur le terrain militaire, si Degrelle s’attira l’admiration d’Hitler, c’est parce qu’il fut - au Front anticommuniste de l’Est - un combattant dont l’héroïsme n’est pas contesté : 75 corps à corps et les plus hautes décorations de guerre. Il passa en quatre ans, de soldat à général, gagnant chacun de ses grades “pour acte exceptionnel de valeur au combat”. Pour être prêt à mourir, il faut croire à un idéal ! Sur le terrain politique, Degrelle fut un entraîneur d’hommes comme jamais la Belgique n’en connut. À l’âge de 29 ans, il souleva et emmena derrière lui des foules immenses. Or, l’essentiel des campagnes du chef de REX fut toujours axé sur la nécessité d’une “révolution des âmes” ! C’est cette forte spiritualité degrellienne qu’on retrouvera dans "Les âmes qui brûlent", ouvrage dont le plus célèbre académicien de l’Espagne moderne a écrit qu’il était “d’une beauté impossible à surpasser”.