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1452. Deux êtres que tout sépare ont choisi pour s’aimer un lieu de fin du monde : Byzance assiégée par les Turcs. Un an plus tard, la cité ne sera plus qu’un amas de cendres. Pendant six mois, l’existence de Jean L’Ange et de la belle Anna Notaras battra au rythme de ce grand corps agonisant. Deux amants jouets d’un destin ironique dont la cruauté même les autorise à prendre avec le monde les plus folles libertés. Né le 19 septembre 1908 à Helsinki, fils d’un pasteur luthérien et formé à la théologie, Mika Waltari est l’auteur de romans, nouvelles, pièces de théâtre et scénarios. Il fut aussi traducteur et écrivit des centaines d’articles pour les journaux. Traduit en quarante langues, il est l’écrivain le plus prolifique et le plus célèbre de la littérature finlandaise. Il est par ailleurs considéré par le quotidien Le Monde comme « le maître absolu du roman historique », genre dans lequel il développe un pessimisme teinté de mélancolie. Érudit scrupuleux habité par un étrange esprit d’insoumission – on l’a souvent comparé à Marguerite Yourcenar –, il avoua n’avoir exploré les méandres du passé que pour pouvoir éclairer, avec un maximum de distance désillusionnée, les incompréhensibles soubresauts de l’aventure humaine – et particulièrement ceux de son siècle. Mika Waltari publia en 1945 Sinouhé l’Égyptien, vaste fresque épique ayant la Méditerranée antique pour arrière-plan. Il est mort le 26 août 1979.