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François Derais est né le 20 juillet 1927, à Tunis, où son père était architecte et sa mère ophtalmologiste. Études secondaires au lycée de Tunis, où il fait la connaissance de Jean Amrouche, qui y était professeur. Études universitaires à Alger, puis à Paris. Aujourd’hui, docteur en droit et diplômé de l’École libre des sciences politiques. L’événement marquant de sa jeunesse (marquant pour le public), est le séjour de Gide dans sa famille, de juin 1942 à mai 1943 : cohabitation d’une dizaine de mois, où la curiosité naturelle d’un adolescent pour un vieillard couvert de gloire, fit promptement place à une hostilité peu déguisée. Pourquoi ce retournement ? C’est ce que le Journal 1942-1949 ne dit pas, et c’est ce qu’on trouvera dévoilé dans la Querelle de Gide et de Victor (puisque c’est Victor, au lieu de François, que Gide nomme - dans son Journal - son juvénile adversaire). La querelle de Gide et de Victor dépasse d’ailleurs de beaucoup, en intérêt, la portée de l’incident qui en fut l’origine. C’est qu’il y a, chez François Derais, un observateur de rare qualité, au regard impitoyable de pénétration sereine. Il excelle à percer les intentions, à relever le petit fait significatif. Ses souvenirs composent ainsi, sur la vieillesse du grand écrivain, un document étonnant de vie, d’autant plus précieux que Gide, avant de mourir, put le lire et n’éleva que des contestations de détail. On y trouvera également un récit, parfois pittoresque, des jeux et des occupations de certains éléments d’une génération qui avait quinze ans en 1942... Henri Rambaud est né à Lyon, le 21 janvier 1899. Études à la Faculté catholique de Lyon, où il est l’élève de Louis Aguettant. Carrière partagée, à Paris et à Lyon, entre le journalisme, l’enseignement (secondaire et supérieur) et la littérature. En 1949, renonce à la chaire (de latin) qui lui avait été confiée aux Facultés catholiques de Lyon, pour se consacrer tout entier à écrire. A collaboré à des revues très diverses : Revue fédéraliste (1919-1923), Revue universelle (1921-1941), Revue critique des idées et des livres (1922-1924), Nouvelle revue française (1924-1939), Latinité (1939), La vie intellectuelle (1938-1951), Confluences (1942-1943), Arts (1945-1946), Bulletin des lettres (1947-1951). Auteur de : La voie sacrée, précédée de Supplément à « Souffrance du chrétien » (Lardanchet, 1946, épuisé) ; sous une forme assez libre, mi-philosophique, mi-poétique, essai sur l’amour, écrit à l’occasion du livre fameux de M. François Mauriac, au demeurant simple prétexte à l’exposé des vues personnelles de l’auteur. A donné des éditions de : Stendhal, Lucien Leuwen (1929) ; La Rochefoucauld, Œuvres, (1929) ; Corneille, Cinna (1945). À paraître : Lettre à Jean Paulban sur quelques points de langage et la notion d’orthodoxie linguistique, sous forme de lettre et, à l’occasion de points contestés de grammaire, ouvrage consacré à la recherche des principes et des conditions d’une véritable fidélité à l’esprit.