Standaard Boekhandel gebruikt cookies en gelijkaardige technologieën om de website goed te laten werken en je een betere surfervaring te bezorgen.
Hieronder kan je kiezen welke cookies je wilt inschakelen:
Technische en functionele cookies
Deze cookies zijn essentieel om de website goed te laten functioneren, en laten je toe om bijvoorbeeld in te loggen. Je kan deze cookies niet uitschakelen.
Analytische cookies
Deze cookies verzamelen anonieme informatie over het gebruik van onze website. Op die manier kunnen we de website beter afstemmen op de behoeften van de gebruikers.
Marketingcookies
Deze cookies delen je gedrag op onze website met externe partijen, zodat je op externe platformen relevantere advertenties van Standaard Boekhandel te zien krijgt.
Je kan maximaal 250 producten tegelijk aan je winkelmandje toevoegen. Verwijdere enkele producten uit je winkelmandje, of splits je bestelling op in meerdere bestellingen.
Cet essai – le premier en France à traiter de l’ensemble du problème universitaire dans le monde – débute par une critique radicale de l’inertie et du conservatisme de l’enseignement supérieur. L’auteur ne s’y embarrasse pas de précautions tactiques : à ses yeux, les universités, demeurées pour l’essentiel identiques à elles-mêmes depuis le Moyen Age, non seulement sont de moins en moins adaptées à l’urgence des problèmes sociaux et économiques d’aujourd’hui, mais, constatation plus inquiétante, elles ignorent totalement ceux de demain. Cette étude ne se borne pas à un constat qualitatif d’échec – déjà maintes fois formulé – mais elle s’appuie sur des données statistiques irréfutables et s’étaye d’expériences vécues sur de nombreux campus. C’est l’exemple même d’une analyse marxiste tout à la fois rigoureuse et ouverte, et son intérêt majeur réside dans la richesse et l’efficacité des solutions ici proposées en vue de bâtir le « système d’enseignement supérieur » de demain. Les bastions universitaires doivent céder et des échanges constants s’établir entre les tenants du savoir et ceux qui, à tous les degrés de l’échelle sociale (cadres, employés, ouvriers) ont et auront à l’utiliser. Nous entrons dans l’ère des expériences vivantes où ingénieurs, juristes, hommes politiques devraient enseigner à temps partiel, tout comme les étudiants s’insérer obligatoirement dans le tissu social, apprendre « sur le tas ». Enfin, tous les moyens de la technologie pédagogique (audiovisuel, ordinateur, etc.) doivent être mis en œuvre pour arriver de façon économique à ce résultat. En bref, l’université de demain ne peut plus être réservée à une élite et il ne doit plus exister de « relégués à vie » de la culture.