Il a existé, dans le passé, des civilisations extrêmement brillantes dont le niveau des technologies était aussi élevé, sinon plus élevé dans certains cas, que nos technologies modernes. Il n’y a pas, depuis l’aube des civilisations, d’évolution continue et linéaire du plus rudimentaire vers le plus sophistiqué, et nos machines modernes ne sont pas le summum de ce qui a été fait sur cette planète en matière de technologie et de machine. L’un des plus grands mystères de la ville de Lyon concerne ce qu’on désigne aujourd’hui sous le nom – peu élégant il faut le dire – d’« Arêtes de Poisson ». Ces fameuses Arêtes de Poisson forment un ensemble de souterrains qui ont une disposition très particulière. La géométrie, les nombres, et leur capacité vibratoire, semblent avoir une grande importance dans la structuration si particulière des « arêtes » qui forment, vue d’en haut, une sorte de grande « antenne râteau » dirigée vers le ciel et l’espace. J’ai voulu situer mon étude sur les Arêtes de Poisson dans un contexte plus large, celui des « hyper-machines », pour tenter de donner un sens à ce mystère archéologique. La conclusion à laquelle je suis parvenu est que toutes les connaissances accumulées sur les Arêtes de Poisson tendent à montrer qu’elles sont le produit d’une science et d’une technologie très élaborées qui ne sont peut-être pas d’origine humaine, ou proviendraient d’une humanité très évoluée antérieure à l’humanité actuelle.
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