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Des temps mérovingiens ne surnagent aujourd’hui que quelques images d’Épinal : le vase de Soissons, la culotte du bon roi Dagobert… Si rien ne prédisposait les rois des Francs à diriger un vaste territoire en Europe, il y eut pourtant une dynastie qui occupa le trône trois siècles durant, plus que toutes autres à l’exception des Capétiens. Comment les Mérovingiens parvinrent-ils à un tel succès ? Pour comprendre la création de cet empire informel et sa pérennité, Bruno Dumézil sollicite, à nouveau frais, l’ensemble de la documentation. De Childéric et son fils Clovis aux "rois fainéants", l’auteur montre que le monde mérovingien se maintint parce qu’il fut sans cesse agité de mouvements, que l’on peut considérer comme des crises ou comme des réformes, mais qui obligeaient de multiples acteurs à s’investir dans la vie du royaume : institutions, relations avec le roi, identités présentes ou passées, tout pouvait être discuté ou reformulé. Tel fut le monde de Théodebert le Grand, Brunehaut, Chilpéric Ier, Frédégonde et de leur famille, tel fut l’empire des Mérovingiens.