Cet été-là, l’été de ses 17 ans, le narrateur décide de partir à la rencontre d’Arthur Rimbaud. Pas du côté de Charleville, où il est né, pas dans les Ardennes où il a beaucoup vadrouillé, pas en Belgique où il a souvent mis les pieds. Il choisit de se rendre à Marseille, très précisément à l’hôpital de la Conception, puisque c’est là que l’homme-aux-semelles-de-vent est venu mourir.
« Hommage rendu à la ville des villes qu’est Marseille, dans son dispositif visuel comme l’obsession mer et le flux des visages. C’est du moins là où se risque Raymond Penblanc. Mais avec sous la surface urbaine et les cinétiques du récit des affleurements de vieux mythes, et une figure qui troue le texte : le chemin qu’ici on fait nous mène au dernier chemin de Rimbaud »,
François Bon.
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