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Qu’est-ce qui se joue pour un sujet quand « ça tourne mal » dans le corps ? Cette question du symptôme somatique, la psychanalyse, loin de la marginaliser par rapport à la dimension du langage, lui donne tout son relief. La position freudienne du corps récuse à la fois la réduction du somatique à l’organique (biomédicale) et sa dissolution dans le « psychosomatique » : elle requiert de penser le moment physique du processus conflictuel inconscient. C’est cet apport capital à la question des liens entre corps et symptôme que les présentes leçons s’emploient à reconstituer, en ses aspects cliniques et théoriques. Ce second tome - Corps et inconscient - dégage, à partir de la question de la douleur - « physique » et « morale » - le retour dans le corps de cette jouissance « intraitable », qui requestionne le lien entre l’être parlant et le substrat corporel. Du « langage d’organe » psychotique, aux pathologies somatiques chronicisées, le symptôme apparaît comme témoignant, à partir d’un « trauma incorporé », d’un appel à l’autre (« interjection »), à l’insu du sujet même. Cela permet de relire les suggestions de Lacan sur la prise de la lettre dans le corps, mais aussi de requestionner, avec Freud, le retour du « féminin » dans le corps - moment de « désymbolisation » aiguë auquel il convient de faire droit.