Standaard Boekhandel gebruikt cookies en gelijkaardige technologieën om de website goed te laten werken en je een betere surfervaring te bezorgen.
Hieronder kan je kiezen welke cookies je wilt inschakelen:
Technische en functionele cookies
Deze cookies zijn essentieel om de website goed te laten functioneren, en laten je toe om bijvoorbeeld in te loggen. Je kan deze cookies niet uitschakelen.
Analytische cookies
Deze cookies verzamelen anonieme informatie over het gebruik van onze website. Op die manier kunnen we de website beter afstemmen op de behoeften van de gebruikers.
Marketingcookies
Deze cookies delen je gedrag op onze website met externe partijen, zodat je op externe platformen relevantere advertenties van Standaard Boekhandel te zien krijgt.
Je kan maximaal 250 producten tegelijk aan je winkelmandje toevoegen. Verwijdere enkele producten uit je winkelmandje, of splits je bestelling op in meerdere bestellingen.
Ce n’est plus d’une crise que les économies occidentales sont victimes, mais de la crise. Le chômage et l’inflation, considérés naguère comme antidotes l’un de l’autre, cumulent dramatiquement leurs effets. Quelle est la cause de ces maux ? Le mauvais sort ? La fin des ressources du monde ? Non, il s’agit d’un contresens fondamental, d’un refus de créer, d’un refus de voir, et même de penser. Tournant le dos à la création de richesses, refusant aussi la création d’hommes pour survivre, les Européens et notamment les Français en sont venus à considérer l’emploi, le travail, comme un but en soi, alors qu’il n’est que le moyen. Recherchant éperdument l’improductivité, après avoir chanté pendant deux siècles les mérites de l’efficience et en avoir bénéficié, ils sont tout étonnés de trouver comme résultat la pauvreté. C’est l’économie du diable. Des solutions réalistes, fondées sur un examen approfondi de la situation actuelle en fonction de l’avenir, l’auteur de Croissance zéro ? et de la Fin des riches en suggère plusieurs dans ce nouvel et brillant ouvrage. Pour éviter la pauvreté et le recul économique, il faut, dit-il, donner toutes ses chances à la production de richesses, abandonner les pratiques malthusiennes, cesser d’encourager l’improductivité, et modifier l’enseignement afin de réduire les écarts tragiques entre les besoins des hommes et leur formation. Il faut par-dessus tout combattre le vieillissement sous toutes ses formes. L’Europe aspire, en fait, à la retraite. Mais à la différence des personnes, un pays peut revenir à la jeunesse.