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Bien que, après avoir quitté cette ville, j’aie été tout d’abord heureux de pouvoir réduire ce voyage à quelques événements simples, les bruits qu’il y avait eu au restaurant, la serveuse qui ne parlait que l’allemand, le temps que j’avais passé seul dans cette ville — la nuit —, Sponde à qui je n’avais pu parler, ou encore le parfum d’Anna, ou l’attirance que j’avais pu avoir pour ce tailleur si strict, il m’était apparu que ce que j’avais pu comprendre immédiatement, par exemple l’image d’Anna sur le quai de la gare, serait finalement ce qui demeurerait complètement obscur, contrairement à ma rencontre avec Sponde, que j’avais pourtant confondu avec Arnold Köbler et, vraiment, j’avais été très déçu de ne pas avoir parlé avec Arnold Köbler, je n’avais même pas su cacher ma déception à cet homme qui aurait, dans ma vie, une importance bien plus grande que n’en aura eu Arnold Köbler.