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Ceux qui parlent du « village » ne le connaissent pas. Ce n'est pas leur faute, je me hâte de le dire. Si tant est qu'il y ait faute, elle n'est à coup sur que vénielle : le mot prête à tant d'interprétations différentes ! Dans l'esprit de chacun il évoque une image particulière.Il a pris la place qu'occupait, jadis, le « hameau ». C'était si joli, couplé avec sa rime obligée : « ormeau » ! Ce n'étaient que bergers, fillettes et musettes ! Et je m'en voudrais d'oublier le chalumeau. Non pas qu'on n'ait eu recours qu'au hameau. Mais le titre de l'intermède de Jean-Jacques et l'indication du décor sont à cet égard bien caractéristiques. Le titre ? Le Devin de VILLAGE. Le décor ? Le théâtre représente d'un côté la maison du devin ; de l'autre, des arbres et des fontaines et, dans le fond, un hameau. Et encore Colin chante tantôt :Je sus lui plaire en habit de VILLAGE.et tantôt :Et je vais pour jamais m'éloigner du HAMEAU.