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Cet essai développe une communication présentée au colloque "Que faisons-nous du négatif ?" organisé en décembre 2002 par l'Institut de la pensée contemporaine - IPC et dirigé par François Jullien. L'auteur avait posé la question de savoir ce qu'eux, les Grecs, en avaient fait et plus précisément, après Parménide, le penseur de l'Être et celui de l'Amour, après Leucippe, le philosophe du vide (et du plein), après Empédocle, celui de la haine (et de l'amour). Les grecs nous parlent-ils encore de notre négatif ? "On ne peut analyser ce que représentent le vide et la haine, du point de vue d'une histoire du négatif, sans s'arrêter sur Parménide lui-même, non seulement parce que celui-ci livre le fond de positivité dont ces négatifs prennent le contre-pied, mais aussi parce que, en vertu d'un paradoxe qui constitue, comme le dit Ernst Cassirer, "l'une des questions les plus difficiles et les plus obscures, l'une des plus discutées de l'histoire de la philosophie grecque", Parménide fut le premier à se retourner contre lui-même en un geste suicidaire. Le poème de Parménide est en effet traversé par une dualité fondamentale .... Toute chose dans le monde résulte du mélange de deux entités originelles qui présentent toutes les caractéristiques de ce que la tradition philosophique postérieure appellera les éléments." "C'est justement parce qu'il est que le négatif doit être aboli. Ce n'est pas tout à fait la même chose que d'affirmer avec Platon qu'il ne saurait être pensé ou inversement qu'il peut l'être."